Oui la République est forte et ses valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité sont belles !
Mais, alors que notre société est en proie à de préoccupants signes de haine et de violence, il y aussi des raisons de douter.
A l’occasion de ma dernière question au gouvernement, avant de quitter l’assemblée, j’ai rappelé que la politique, comme la chanson, et sur de forts belles paroles d’Etienne Rhoda Gill, chantées par Julien Clerc, devait être « utile à vivre et à rêver ».
Soyez assurés que mon engagement se poursuivra en ce sens.
« Monsieur le Premier Ministre,
Alors que je m’apprête à quitter cette assemblée je voulais saluer l’ensemble de mes collègues présents sur ces bancs, de la majorité comme de l’opposition.
Je voulais citer particulièrement ceux dont l’histoire de vie témoigne des progrès de notre république. Une république qui rassemble, sous le giron de l’universalisme, les citoyens d’où qu’ils viennent.
Dans cette assemblée siègent
- des femmes de plus en plus nombreuses,
- une enfant de l’ASE pour la 1ere fois,
- des enfants, des petits-enfants d’immigrés, de réfugiés, de déportés,
- des enfants de riches et des enfants du peuple.
Et tout cela permet d’espérer quant à la force de notre République. »
La réponse de Marlène Schiappa, secrétaire d’État auprès du premier ministre, chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes et à la lutte contre les discriminations :