Le centenaire de l’Armistice du 11 novembre 1918 a été l’occasion, partout en France, pour toutes les générations, d’honorer la mémoire de ceux qui sont tombés au cours de cette guerre particulièremen
Les jeunes, la musique, la culture étaient aussi présents lors de l’émouvante cérémonie de l’Arc de Triomphe au cours de laquelle le Président de la République a prononcé un discours très fort. Affirmant, devant plus de 60 chefs d’État, que le « nationalisme est le contraire du patriotisme, qu’il en est même la trahison », il a exhorté chacun, femmes et hommes de bonne volonté à mettre la paix et l’amitié entre les peuples au-dessus de tout.
Vendredi 10 novembre, nous étions, en présence de Guillaume Pépy, à la Gare de l’Est, d’où partirent les Poilus en 1914, et qui représente à plus d’un titre une part importante de cette histoire de la Grande Guerre, pour rendre hommage aux 7500 cheminots morts pour la France entre 1914 et 1918.
J’ai également assisté à la cérémonie à la mairie du 3e avec des chants et lectures d’élèves de l’école des Quatre-Fils et du collège Montgolfier. La présence de jeunes à ces commémorations est essentielle pour faire d’eux des passeurs de mémoire et des valeurs universelles de paix et de fraternité.
A l’heure où le repli sur soi est pour beaucoup une tentation, à l’heure où les extrémismes deviennent pour beaucoup une solution tout à fait acceptable, n’oublions jamais que les coopérations internationales